Le retour médiatique de Gérard Lopez n’est pas passé inaperçu : l’ancien propriétaire du LOSC revendique à nouveau l’héritage des Dogues.
Cédé au fonds Merlyn Partners en décembre 2020, Lille a pourtant conquis, cinq mois plus tard, un titre de champion historique avec 83 points, son record absolu en Ligue 1. Défense de fer (23 buts encaissés) et duo Yılmaz-David efficace (34 buts toutes compétitions) ont porté l’équipe façonnée par Lopez et Luis Campos, auteurs de transferts audacieux et de trading qui devait être massif.
Plus de quatre ans après son départ, l’homme d’affaires assure que le club « vit encore » de ces succès. Les chiffres lui donnent partiellement raison : la qualification directe en Ligue des champions 2021-2022 a généré près de 50 M€ de revenus UEFA. S’y ajoutent la grosse plus-value sur la vente de Botman (37 M€ à Newcastle) bouclée sous la nouvelle direction mais négociées par l’ancienne cellule de recrutement.
"Le club vit encore des résultats de l’époque où nous avons été champions de France et de la Ligue des Champions. Ceux qui nous ont critiqués au moment de la reprise en profitent encore", a t'il confié.
Depuis, les Dogues ont terminé à chaque fois dans le top 5 de Ligue 1 (sauf l'année post titre qui fut compliquée), avec une politique sportive totalement à l'opposée de celle menée par Gérard Lopez. Olivier Létang, successeur de Lopez, argue que la stabilité financière actuelle provient des efforts de gestion post-rachat, rappelant le risque de cessation de paiements évoqué en 2020.
Le discours de Gérard Lopez est donc plutôt culotté et clownesque. Si Merlyn Partners n'avait pas évincé Lopez fin 2020, le LOSC aurait été en cessation de paiement et n'aurait donc pas été champion et n'aurait donc pas participé à la C1 la saison suivante. Toujours dans le déni, l'homme d'affaires qui a coulé Mouscron, Boavista et les Girondins de Bordeaux, a décidément l'analyse très sélective ...
Cédé au fonds Merlyn Partners en décembre 2020, Lille a pourtant conquis, cinq mois plus tard, un titre de champion historique avec 83 points, son record absolu en Ligue 1. Défense de fer (23 buts encaissés) et duo Yılmaz-David efficace (34 buts toutes compétitions) ont porté l’équipe façonnée par Lopez et Luis Campos, auteurs de transferts audacieux et de trading qui devait être massif.
Plus de quatre ans après son départ, l’homme d’affaires assure que le club « vit encore » de ces succès. Les chiffres lui donnent partiellement raison : la qualification directe en Ligue des champions 2021-2022 a généré près de 50 M€ de revenus UEFA. S’y ajoutent la grosse plus-value sur la vente de Botman (37 M€ à Newcastle) bouclée sous la nouvelle direction mais négociées par l’ancienne cellule de recrutement.
"Le club vit encore des résultats de l’époque où nous avons été champions de France et de la Ligue des Champions. Ceux qui nous ont critiqués au moment de la reprise en profitent encore", a t'il confié.
Depuis, les Dogues ont terminé à chaque fois dans le top 5 de Ligue 1 (sauf l'année post titre qui fut compliquée), avec une politique sportive totalement à l'opposée de celle menée par Gérard Lopez. Olivier Létang, successeur de Lopez, argue que la stabilité financière actuelle provient des efforts de gestion post-rachat, rappelant le risque de cessation de paiements évoqué en 2020.
Le discours de Gérard Lopez est donc plutôt culotté et clownesque. Si Merlyn Partners n'avait pas évincé Lopez fin 2020, le LOSC aurait été en cessation de paiement et n'aurait donc pas été champion et n'aurait donc pas participé à la C1 la saison suivante. Toujours dans le déni, l'homme d'affaires qui a coulé Mouscron, Boavista et les Girondins de Bordeaux, a décidément l'analyse très sélective ...
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